Votes concours de légende

Cette histoire se déroule il y a bien longtemps, dans notre vallée perdue, bien avant la venue des hommes à la recherche du poison doré. A cette époque, des créatures légendaires peuplaient abondamment les plaines, les forêts et les montagnes de Spirit. Peu de sorciers avaient le courage de s’aventurer dans la grande forêt sur laquelle des créatures telles que les logortonebrosso régnaient en maître. C’est dans cet endroit que les arbres centenaires préservaient de la moindre goutte de lumière que naquit un être unique, un être qui ne nait qu’une fois tous les mille ans. Dans l’enfer vert de la grande forêt, personne ne remarqua jamais la présence des créatures qui la peuplait, du moins, pas avant que ces dernières leur ai sauté à la gorge. Dans un creux du plus grand arbre de la forêt, un petit tas de cendres abritait un seul et unique œuf. Il était rouge comme du magma en fusion et une étrange chaleur émanait de sa coquille. Une nuit particulièrement sombre où les nuages se vidaient de gigantesques trombes d’eau, l’oisillon sortit de sa coquille. Il était seul, sans frère et sans sœur, sans parent pour le réconforter et prendre soin de lui. Le petit pointa le bout de son bec en dehors de son nid de misère qu’abritait le tronc du grand arbre de la forêt. Il ne décela rien d’autre que d’effrayantes silhouettes grises et le bruit terrible de la pluie et du tonnerre. Il se blottit contre l’écorce de son protecteur et attendit que ce déluge cesse. Il patienta durant trois jours, il discuta silencieusement avec le grand arbre durant cette période d’attente qui était les premiers jours sa vie grise et terne. Au bout du troisième jour, les nuages s’en allèrent et laissèrent place à une sinistre brume qui enveloppait la forêt comme un serpent entoure sa proie. Le jeune oisillon décida de quitter son abri sans quoi, il mourrait de faim et de soif. Il n’en avait pas conscience mais, la faim et la soif n’était pas indispensable à sa survie. Il murmura un triste « adieu » au grand arbre et partit, sans pleurer et sans quitter le chemin boueux des yeux. Ce dernier le mènera sûrement vers la sortie de ce sinistre endroit. Il marcha durant trois jours, sans s’arrêter et en déjouant tous les pièges morbides de sa prison végétale. Sa vie ne semblait pas dépendre du hasard et même les plus grands prédateurs ne réussirent pas à ne toucher ne serait qu’une plume de son plumage. Au bout du troisième jour, l’oisillon discerna la lisière de la forêt. Il courut vers celle-ci et fut ébloui par la lumière des plaines de la vallée, il n’avait jamais vu quelque chose d’aussi beau; l’astre lumineux qui régnait sur les cieux était ses parents, il en était sûr ! Il essaya de battre de ses petites ailes pour le rejoindre mais il s’écroula pathétiquement après avoir tenter un décollage périlleux à l’aide d’un rocher. L’oisillon était jeune mais pas naïf, il savait bien qu’apprendre à voler sans aide serait trop dur. Il descendit ainsi vers un petit village qui abritaient les sorciers de la vallée. Il supplia les personnes qu’il croisa de l’aider mais personne ne voulut lui parler : les sorciers n’avait jamais un oiseau ressemblant à celui ci: son plumage était gris comme de la suie, son bec était crochu et informe et ses pattes maigrelettes l’enlaidissaient encore plus. Une telle créature était synonyme de malédiction pour la tribu. La bête fut chassée. Cette dernière, détruite par la solitude et le chagrin se réfugia en haut d’un arbre gigantesque semblable à celui qui avait assisté à sa naissance. Il mit trois jours pour atteindre son sa cime. Au bout du troisième jour, il arriva à l’extrémité de la branche la plus haute de l’arbre et contempla la vallée : il regarda longuement la grande forêt, les plaines de la vallée et les terres sacrées des sorciers puis il se mit à pleurer. Il pleura et pleura encore. Tant d’injustice et de solitude dans une simple vie lui avait donné envie de pleurer toutes les larmes de son corps. L’arbre s’embrasa mais personne ne vit jamais les flammes recouvrirent l’arbre. Celui-ci ne brula pas mais au contraire, devint majestueux. Ses branches s’emmêlèrent et formèrent une flamme. C’était le bûcher du petit oisillon, sa vie prenait fin alors qu’elle n’avait commencé que quelques jours auparavant. Les volutes de fumée prirent la forme d’un grand oiseau. On aurait dit qu’il se dirigeait vers le soleil bien que le vent soufflait à l’opposé de cette direction. On raconte que certaines personnes auraient aperçu un phénix perché en haut de l’arbre du feu en train de regarder le panorama avec un air triste. Bien sûr, tout ceux n’est qu’une légende mais… chaque légende possède une part de vérité…

Il fut un temps ou il n'existait rien, ni temps ni espace, ni vivants ni morts. Seules, les divinités, subsistaient dans cet partie du néant que nous nommons de nos jour : La voie lacté.

Beaucoup laissent à penser qu'il n'y à qu'un seul être originelle, d'autre croient en plusieurs créateurs, et certains autres, rare, suppose que tout notre monde c'est construis tout seul, tel une jeune pousse au soleil, se formant et grandissant jour après jour. C'est donc de la que vient une ancienne légende, plus vieilles que le chef du village des sorciers, plus vieilles que la race des dragons, plus vieilles que le monde lui même, et depuis les débuts de l'existence du monde cette histoire est racontée.

On dit que le ou les dieux, divinités et autre entités magiques, on un jour crée une graine, première source de vie, mais ne l'ont jamais planté, au lieu de cela, ils ont donné la faculté de penser et de ressentir à cette minuscule petite graine. Ainsi dotée de sentiment et autres sensations, la petite création des dieux n'eut qu'une envies et qu'un seul souhait, survivre. Alors dieux et déesses se mirent d'accord pour laisser cet être de taille minimes mener sa vie comme il l'entendait. A partir de se jour, la graine put alors commencer à pousser, vivre, n'utilisant pour ressource que sa volonté, naissant au creux de la main de celle qu'on nomme Mère Nature.

Insufflé de cet notion de vie, la jeune pousse se mit à grandir, passant du stade d'état fragile à un beau petit arbre robustes, mais il n'en avait pas encore finis. Bientôt, le petit arbrisseau devint un bel arbre gigantesque, Dame nature l'ayant encouragé tout le long, aidé et protégé. Ce qui adviendra reste sombre, ne sachant pas s'il n'existe qu'un être véritable ou plusieurs. Mais nous nous accordons à dire que plusieurs entités n'en forment en fait qu'une seule. Donc, en somme, les autres parties autre que celle qui porte le nom de Terre Mère furent courroucé et furieux de voir qu'un arbre aussi grand avait poussé à partir d'une simple graine et que tout ce temps, un des leurs l'avait masqué à la vue de tous. A partir de ce jour, ils décidèrent de bannir la partie d'eux mêmes qui avait pourtant agis de bonne façons, et ainsi pour la punir, ils la scellèrent à l'intérieur de l'arbre, perdant tout pouvoir et capacités quelle qu'elles fussent.

Yggdrasil, voila le nom que décida de se donner cet arbre, et puis il pouvait aussi entendre murmurer ce nom, sachant pertinemment de qui venait cette voix si douce, si protectrice. Les dieux voulurent en finirent avec cet arbre, décidant d'y mettre feu, mais au grand jamais n'avait-ils prévus que le végétal puisse posséder de plus grand pouvoir qu'eux. Bientôt il se prénomma lui même l'Arbre Monde, de la simple manière que ses fruits aussi rond et juteux soit-il était un nouvel être. L'arbre créa petit à petit le monde qui nous entourent avec ses racines, de ses fruits naissait ses enfants, devenant à leur tour de vigoureux arbres millénaire. De ses feuilles naquirent le vent, les eaux, la terre, et autre élément, ainsi, dès qu'une de ses flèches vertes se décrochait d'une de ses branches, elle volait, créant moult bourrasques et autres vent. Quand elle venait à touché les racines des arbres entrelacés entre eux, elle se décomposait et devenait terre, recouvrant peut à peu le monde uniquement végétal crée par Yggdrasil. Dès qu'une de ses branches tombés sur le sol, cela provoquait alors un abime sur la terre fraichement inventé, venant se liquéfiait et remplir ainsi les multiples étant et fleuves. L'arbre monde et ses congénères n'avait nullement besoin de tout cela pour avoir poussé, leur seul volonté de se battre pour leur vie avait était suffisante.

Bientôt, le monde ainsi crée fut gigantesques, ce n'était plus une petite boule de racine d'où était disposé ci et la des troncs d'arbres gros comme l'entrée d'un profond tunnel, ainsi, ce fut la Terre, en hommage à Terre Mère qui les avait protégés comme elle avait pus. Les entités supérieur, dépassés par les évènements, ne purent que regarder passé sans pouvoir intervenir face à la puissance même de Dame Nature, ils avait certainement banni la personnalité la plus puissante d'entre eux. Afin de pouvoir renverser le coup du sort, les dieux se concertèrent et décidèrent d'infester le monde alors crée par Yggdrasil, s'ils ne pouvaient s'attaquer à sa source, quelqu'un d'autre le ferait pour eux. C'est ainsi que naquis l'homme et autre animaux, nouveaux êtres nuisibles.

L'Arbre Monde, étant un être plein de compassion et de répartie, accepta les nouvelles créatures, et pour les aider à subsister, demanda à ses enfants de crée avec fantaisie de multiples ressources. Ainsi naquirent les fleurs exprimant la beauté et la grâce, les légumes et autres arbres fruitiers, ainsi que de multiples autres herbes. Les dieux furent frustrés, leur création était censés s'attaquer aux arbres, mais rien n'y fit, les êtres vivants qu'ils avaient crées osaient remercier un être qui leur avait donné de quoi se nourrir et même se loger grâce à leur bois.
Afin de se venger, ils n'eurent plus qu'une solution, détruire le monde nouveau à partir d'éléments non existants, alors ils invoquèrent le feu, élément redoutable, mais rapidement maîtrisé par l'homme. Ils eurent recours aux cataclysmes du ciel grâce à des rochers que l'on nomme météorite, ainsi vint les métaux sur la terre, et ce fut vite un véritable avantage pour les hommes, encore une fois, leurs créations avait contrés leurs plan.

Les entités décidèrent de crée une nouvelle race animal qui serait sage et comprendrait leur point de vue, posséderaient une vie longue ainsi qu'une grande résistance et des pouvoirs puissant. Vint au monde alors les dragons, mais ces derniers déçurent à leur tour leur créateurs qui les avaient dotées peut-être d'un peu trop d'intelligence et de sagesse, ce qui permettait aux reptiles volant d'avoir de bons argument et une rhétorique sans failles.

Ils ne leur restèrent plus rien, alors tentèrent-ils une manœuvre désespéré et inutile. A parti de la terre crée par l'Arbre Monde naquit les rochers et autres pierres, mais ce qui n'était pas envisager, et encore moins prévu, mais qui avait fait plaisir aux dieux, c'est que ces fameux bloc organique nuisait aux arbres. Étant dur et résistant, ces derniers avait du mal à les briser ou à les déplacé, et mieux que cela, ils avaient était crées à partir de la terre des feuilles tombant des arbres, ce qui signifiait qu'ils était une partie de ses êtres. Sans se rendre compte des conséquences, les dieux avait crées une maladie à ses arbres, ayant modifié leur cellules morte pour en créer de nouvelles. Ne pouvant contrer leur propre parties d'eux mêmes, ils virent cette infection s'emparer d'eux et les pétrifier de part en part. Ainsi passa le temps, et bientôt Yggdrasil se recouvrit de multiples cristaux de couleur vertes, son sang, sa sève étant de cette même couleur émeraude vive. L'arbre devenant le porteur d'une maladie qui auraient anéantie le monde si chacun des végétaux n'avais pas décidé de s'unir afin de ne laisser que leur corps subsister et que leur âmes ou esprits ne se rejoigne qu'en un seul et même être, leur père, Yggdrasil. Depuis la maladie c'est arrêté, ne faisant plus que stagné. L'Arbre Monde et ses congénères s'entourèrent d'autres arbres et montagne afin que plus personne ne vienne les déranger, stoppant ainsi l'infection qui sclérosait leur corps.

De nos jours, on dit de par le monde qu'il existe un passage menant à une vallée inconnue ou l'on trouve des arbres gigantesques et imposant. Il parait qu'en son centre trône un arbre magnifique, dépassant du double ses congénères, et qu'entre son feuillage et sur son tronc, en pleine nuit, s'illumine de multiples lumières vertes cristalline. Il semblerait que l'arbre se lamente chaque soir, pleurant sa fin et celle du monde, on raconte aussi qu'en son centre c'est creusé un profond tunnel menant à la chambre conservatrice d'une déesse endormie depuis des lustres. La légende dit que quiconque la réveillera et gagnera ses bonnes grâces pourra sauve la déperdition du monde et soigner chaque être de toutes les maladies qu'il est possible d'avoir.
Mais qui oserait s'aventurer dans une vallée totalement inconnue, peuplée de créature inconnu et varié, mystérieuse et dangereuses pour certaines.
Personne n'est jamais allaient affirmer la légende de l'Arbre Monde ou de la déesse Terre Mère. Vous aventuriez, serait-vous à la hauteur pour relever le défis ? Ce n'est qu'à vous d'en décidez de la sorte...