un visiteur (avec showel)

Moi, Maiko je me suis installé dans ces montagnes car si je vais au village les pensés des gens m'assaillent de toutes par. Je me mis à contempler le paysage qui s'offrait à moi. Rien ne vein troubler ma trenquilité sauf peut-être des bruits de pas.
* des bruits de pas !?* le vent me transmit l'odeur du nouvel arrivant, que venait-il faire là ? Je commençait à l'entendre penser sans pour autant perse voire se qu'il se disait à lui même. Mon sang ne fit qu'un tour. Voire des gens me rend nerveuse, ils pensent toujours trop remplissant ma tête de leur petite penser plus ou moins nette. Je me souviens de cette foie où j'avais aidé un homme à disperser son poléne dans ces champs de colza pour qu'il pousse mieux. A la seconde où il m'a vu il a passé son temps à se demander comment il aller faire pour me séduire, à comment j'étais habillé sous ma tunique, comment était ma peau. J'ai finit par ne plus le supporter. Je me suis retournée et je lui ai hurlé dessus pour qu'il se taise. Après sa il me pris pour une folle mais au moins il ne penser plus à ses choses dégoutantes. Néanmoins les bruits de pas se rapprochèrent encore. Que devais-je faire ? je décidais de me cacher derrière un rocher non loin de là. Un foie que le visiteur serait passé je pourrais reprendre mes occupations. Mais qu'elle que chose me disait que sa n'allait pas se passer ainsi.

Mes yeux se remplirent de larmes en entendant les pensés de cette petite créature.
Elle était dévorée par l'envie de voler, chose que je faisais frécament. " j'aurais trocké mes 4 pattes contre une paire d'aile" s'en fut trop pour moi. Je suis sortis de derrière mon rochet, j'ai couru pied nu dans l'herbe vers la petite créature. Je ne savais pas si se que je faisais étè bien ou non, mais la douleur de se petit être me trenspérsait le coeur. Plus je m'approchais d'elle plus mon désire de lui faire réaliser son rêve devenait fore. Alors je l'ai saisi entre mes bras et sans m'arrêter de courir je me suis dirigée vers la falaise. Je stopais nette ma course et d'éployais mes immense ailes.
- Est-ce vraiment se que tu veux ? Voler ? Je peux t'aider à voler. Veux-tu voler avec moi ? demandais-je. Le silence se fit, le vent vein faire voleter ma longue cheuvelure noire et ébourifer la robe créme du petit nireuil. L'herbe se mis à chanter sous le vent. Mes yeux s'agrandirent face à l'immence gouffre plein de nuage et de ciel qui me faisait face.
- Veux-tu que je t'emmène près du soleil ? Je reprenais une de ses inombrables pensés à propos de son rêve, et toi petit ours laiseras-tu ton hôte voler ?
Mes ailes toujours grandes ouvertes n'atendaient que la reponse de showel.

[Désolée pour le retard, vacances + histoire de Chrys qui devait avancer un peu ^^']

Showel fut surprise quand on l'attrapa. Elle crut d'abord qu'elle s'était faite avoir par un animal ou un homme en train de chasser et se disait qu'elle aurait mieux fait de surveiller les alentours plutôt que rêver. Elle aurait dû comprendre depuis longtemps qu'il ne fallait pas rêver tranquillement en étant à découvert. Mais la Nireuil n'eut pas l'intention de se débattre, voulant d'abord savoir ce qui l'avait attrapé. Elle crut d'abord qu'il s'agissait d'une femme mais quand son regard croisa le sien, l'animal s'aperçut que c'était bien plus que ça. Voyant les ailes, si différentes mais magnifiques, de l'ange, Showel resta émerveillée, oubliant complètement qu'elle ne savait pas encore à ce moment ce que lui voulait cette personne. Quand Miako parla, la Nireuil se retrouva incapable de dire quoi que ce soit. Voler... On lui proposait vraiment de voler? Observant les ailes immenses déjà déployée et semblant déjà flotter dans ciel, pour s'approcher plus près des nuages, Showel fut incapable de répondre quoi que ce soit. Quand l'ange lui demanda si elle voulait qu'elle l'amène près du Soleil, comme l'animal l'avait pensé plus tôt, elle la fixa, l'étonnement se lisant sur le visage et le coeur s'emballant presque à l'idée de réaliser son rêve. Mais Miako avait demandé l'avis de SNowel, et elle avait d'ailleurs bien fait. L'ours, méfiant au départ, acceptait maintenant de laisser la Nireuil voler avec l'aide de l'ange. Après tout, il était resté sur le plancher des vaches suffisemment longtemps pour permettre ça.
"C'est... Vraiment... Possible?" demanda Showel en regardant Miako.

je ne lui répondis pas. Je me contentais de me laisser tomber dans le vide. nous chutions, je sentais le vent sur ma peau. Le sol se rapprochait dangereusement et au dernier instant
je me battais des ailes pour remonter en flèche. Montant bien plus au que les montagne slalomant entre les nuage. Je voler pour lui faire plaisir. J'étais au dessus d'un lac alors je descendis et j'entrepris de faire glisser les pattes du nireuil dans l'eau, nous sommes remontée par la cascade qui s'y trouver laissant l'eau fouetter notre visage.
- ne ferme pas les yeux ! lui dis-je. Sous le soleil toutes les petites gouttelettes prenaient
des tintes arc en ciel. Je continué à monter droit vers le soleil. je ralentie et me retournait dans le ciel de façons a pouvoir poser le showel sur mon ventre je la regardais avec mes yeux violets je scrutais son excrétion. Ne voyant rien sur son visage. Je lisais dans ces pensés mais elles étaient confuses. Elle passaient par tout les sentiment.
- Ce n'est pas bien ? je n'aurais pas du faire ça ? Tu m'en veux ? Je me sentie soudain plutôt mal. Avais-je fais qu'elle que chose de mal ? showel semblait si bouleversée. Et ses penser ne me renseignais pas tellement elle étaient nombreuse et confuse.

Soudain, je le vit traversser le ciel, avec ces ailes couleure d'acier. C'était un aigle gigantesque. je me mis à murmurer :
- ho non pas sa ! Je me retourne manquant de faire tomber chowel, c'est pas vrais ! Pourquoi c'est toujours sur moi que sa tombe se geore de truc ? Je filais dans les air le plus vite que mes ailes me le permettaient plongeant se qui m'entourait dans le flou. Je n'entendais plus rien sauf les cris assoifé de l'aigle argent " manger ! nourriture ! manger !" pensait-il. Je savais qu'il ne songeait pas à moi, mais au petit nireuil dans mes bras. je naviguais dans les airs presque à l'aveuglette me contentant de m'éloigner le plus possible de l'oiseau. Il nous ratrappait, j'avais fais trop de fanfaronade avec showel je commençait à être fatiguée après tout cela faisait plusieures heures que nous volions. Je me désidais donc à faire volte face au rapace.
- Je ne te la laiserais pas dis-je. Je mit le nireuil sur mon épaule pour avoir les mains libres.

Showel s'accrocha au bras de Miako de toute la force de ses petites pattes, pour éviter de tomber. La chute lui faisait peur et faisait totalement paniquer l'Esprit. Voyant l'aigle venir très près d'elle et de l'ange, la Nireuil eut d'abord le réflexe d'enfoncer la tête dans son cou et son pelage, comme pour s'y cacher. Quand Miako mit l'animal sur son épaule, la petite bête fut terrorisée par le rapace mais éprouva une grande admiration pour l'ange qui lui faisait face. C'était tout simplement impossible de laisser un stupide volatile la manger ou blesser Miako. Laissant de côté sa peur, Showel fut juste envahie par une certitude: il fallait se défendre. Snowel avait l'air de cet avis, un grognement d'ours résonnant dans la tête de la Nireuil. Cette dernière transforma sa patte droite en patte d'ours et décocha un coup raide dans la tête de l'aigle qui avait tenté de passer sur le côté. *Tu ne nous auras pas, sale bête!*

je souris à la pensé de la petite créature. En effet ce n'étais pas se stupide volatile qui allait avoire ce qu'il voulait. Le vent tourna se qui me déséquilibras légèrement même si s'était moi qui l'avais fais tourner. Le rapace recula et plonga pour un nouvelle assaux pendent se temps je préparé mon ataque. Je fermais les yeux est résiprait lentement " plus fin" pensais-je "beaucoup plus fin" quand je rouvrie les yeux le rapace n'étais plus qu'à deux ou trois mètres de nous. Tous à coup je l'attaque il y eu comme une onde de choc qui écarta même les nuages sur son passage et veint s'éctionner le tendon de l'aile gauche de l'aigle déséquilibré, il se mit à choire. Batans rageusement de sont aile valide. Je me sentie mal, mon dieu comme j'avais horreur de blaisser les autres. je le regardais tomber, de si haut il se fracasserais en bas. Je réfléchissais, il n'étais pas juste qu'il meurt pour avoire voulu survivre. Si sa se trouve il avais de petits à nourir. C'est pourquoi j'ai décidé de le faire descendre doucement vers le sol de toute fasson, il ne parviendrait jamais à nous ratraper.

-De rien va ! rie-je. je commencais à ne plus sentire mes ailes. Voler pendent des heures en faisant la fanfaronne était vraiment fatiguant. Je descendit lentement vers le sol pour rejoindre la terre ferme. Dés que mes pieds le touchérent je m'assis en tailleur pour reprendre mon souffle.
- Une ataque de cette empleur me rend vraiment faible. Je suis désoler de ne pas pouvoire voer avec toi plus longtemps mais je n'est pas l'habitude de faire étalage de mon savoire. Enfin bon on recommencera quand tu le voudras, et on irat plus haut et plus loins, d'accord ? Bien sur que tu es d'accord c'est une question stupide que je te pose la n'est ce pas ? oui c'est vrais. Regarde moi je fais les question et les raiponse je rie encore. Tu sais quoi je vraiment très faim tu veut manger quelque chose ?

-Et bien soit. je me relève rangeant mes ailes dans mon dos.puis nous nous mîmes à marcher. Mes mains tremblé légèrement, chose qui annoncé un moment très difficile pour moi, la mue de mon aile gauche. Je sais je ne suis pas un serpent mais c'est comme sa, les dragons d'aires muent. De plus nous devons soigneusement cacher les peaux mortes car les magiciens s'en servent pour un tas de peaussions qui servent à nous tuer, ou bien il en revêtissent les lames des guerriers qui peuvent ainsi nous transpercer. Et tous comme eux ma peau est extrémement dure. Soudain nous entrons dans la forêt, le problème dans la forêt c' est que je suis comme un oiseau en cage impossible de m'envoler. Et à l'odeur cette forêt puait le prédateur à plein nez.
- Dit moi showel, tu te fais souvent attaquer, comme sa ?

-vraiment shwoel, tu devrais faire plus attention à se que tu fais. Tu est rentrée dans cette forêt alors que tu ne sais même pas se qui t'y attends. L'odeure de prédateure s'emplifia dans mes narines.
- Dépêche toi de trouver se que tu cherche, car cette forêt grouille de vilainnes bestiole, et ici mes capacitées son vraiment réduites. Je ne peux pas voler. lui dis-je. Etre dans une forêt pour moi équivalais à être à découvert pour showel. Si je venais à me faire attaquer il me faudrais me batrre au corps à corps. Et si je venais à être blaisser phisiquement et dans le cas ou je ressent une réelle douleure mon instins de survie prend forcément le dessus dans ce cas là c'est la mort assuré pour mon assaillant par ce que le dragon n'est jamais très loins. Showel avais raison un dragon en colère est tériblement dangereux.
Mais bien sur à se moment là il était déjà trop tard.

j'étais tendu, je contemplais avec désaroie l'horizon plus que des animaux, c'étaient des créatures magiques qui vivaient là. Je pris avec douceur les fraises que me tendait showel. Je les mangeais avec délice oubliant presque de faire attention. Je me repris immédiatement contrérement à la nireuil; moi je pouvais entendre, voire et sentir le danger de loin. Mon coeur s'arrêta de battre une seconde quand j'entendit au loins le craquement d'une branche sur le sol. Je fixais maintenant de me yeux violets la provenance du son. Je me demandais si showel l'avait entendu. Je receuillis quelle que fraises. un autre craquement.
- Showel tu à entendu ça ?

je humais l'aire autour de nous et la j'eus un choc la créature étais un créature magique si elle nous trouvais on aurais de sérieux ennuis je ne savais pas de quoi il s'agissait mais je sentais monter en moi une bouffé de rage.
- Il faux qu'on s'en aille ! hurlais-je. Mais pupilles se fendirent comme celle d'un chat en une simple ligne longue et froide qui scruté avec colère la forêt alentour.
La créature pouvais surement me sentir tout se que j'espérais c'est que je lui ferais assai peur avec se débordement de magie qui envahissait doucement mon corps a fur et a mesure qu'il approchait. des crocs apparurent au coin de mes lèvre. J'étais encore jeune mon instinct se réveillait toujours sans que je puisse me contrôler. Et tout sa je pense que showel l'avais deviner
- Sais tu où il y a une clairière showel ? Un endroit où je pourrais m'envoler si on reste la on risque d'y passer cette créature ne reculera pas. Soudain ma vu perçante de dragon vit une silhouette féline qui serpentais doucement dans notre direction.
-Si elle nous rattrape tu t'immobilise, d'accord !? elle te verra que si tu bouge. Maintenant courrons et trouvons un endroit où je pourrais m'envoler.

je commençais à sentir l'odeur fétide de l'haleine de notre poursuivant. Ma rage ne faisais qu'empirer. Showel n'avais pas compris que se qui me mettait tellement en panique c'était moi même. je m'adresse donc elle:

- Je suis une créature magique supérieur mais comme toute créature de se niveau je suis instable. Je suis encore jeune et si ma vie est en danger je peux vite devenir très violente, voire intenable en faite le vrais problème, j'avais honte de le lui dire mais... showel les dragons de vents sont pratiquement tous claustrophobes, j'aurais pu me tenir renquille si cette bête n'étais pas venu mais là je pers mon sang froid. Si jamais la bête nous rattrape tu doit tout de suite t'arrêter de courir et ne plus bouger d'un poile pas une moustache! rien ! Le mieux c'est de fermer les yeux tu est une petite créature elle ne te verra pas, moi en revanche se sera différent je suis bien trop volumineuse et mon tôt de flux magique est à plein régime !

Je fut très ému que showel reste à mes côtés plutôt que de monter dans son arbre. Je voyais la clairière à travers les arbres. soudain des spasme et des tique nerveux envahirent mon corps, j'avais envie de m'arrêter et de faire la peau à cette chose. Mais je ne pouvais me résoudre à lui faire du mal alors je combattais mon instinct en m'obligeant à courir. Mon aile d'ange éfleuré les arbres tendit que celle de dragon les coupé aussi facilement qu'un couteau coupe du beurre. Il fallait que je continue ! Le problème étais que pendent ma réflexion qui poussé mon esprit à me dire de continuer, je m'étais arrêté de courir.

j'attrape la créature par le coup et le plaque au sol. La bête abati sa patte énorme sur mon bras. Je hurle de douleur voyant une entail gigantesque et sanginolente se désiner dans la chaire. Le vent redoubla de violence trenchant par ci par la le corps de la bête. Je ne peu plus me contrôler le dragon s'empar peu à peu de moi, mes cros s'alonge sur mes lèvres qui se plante dans le coup de la bête, ma bouche s'emplis de son sang. Je le recrache avec dégout la créature en profite pour me plaquer au sole. Je suis trop dans les vapes pour faire quoi que se soit le sol tangue et les arbres se raprochent ma clostrophobie me met en dangé.

J'étais surprise de voire un ours près de moi et qui plus est un ours qui viens de me sauver la vie. je me relève tant bien que mal. Je vois que la bête c'est mise à osciller mais c'est penser son encore très claire il veut se battre. Mon habit blanc plein de sang me plaque sur la peau. Soudain je le fixe la bête avec mes yeux de dragon brûlant d'une rage et d'une sauvagerie incendiaire empreint d'une légère cruauté. Mes immenses ailes se déploient me rendent ainsi plus imposante. Je le regarde notre regard est profond je le guette comme un dragon aurait guetté sa proie avec une peur de la voir s'enfuir. Mes ailes se mettent à battre créant un vent violent qui se mit a tournoyer autour de nous puis il devient plus petit se rapprochant de plus en plus de moi pour finir en petite boule si petite qu'elle disparu. C'était ma dernière chance lui faire la peur de sa vie. Cette attaque ne produisait pas de douleur mais elle pousser les choses et produisait un son incroyable. Tous a coup le silence s'abattit sur nous plus une brise plus un son plus rien. J'attendais le bon moment. Notre regard se poursuivit. Tout à coup je lâchait tout une immense onde de choc bouscula tout sur son passage brisant les arbres et produisant un son semblable à ceux que produisent les feux d'artifice mais comme si on se trouvait à côté de la fusé qui explose.